Les comportements des managers priment la maîtrise des techniques managériales
Comment évitez de devoir recadrer vos collaborateurs ?
La promesse se grave dans le marbre de celui qui l'entend et dans le sable de celui qui la fait
Ma priorité managériale ? Les collaborateurs en forme ou les autres ?
Le manager est la réincarnation de Bernardo en carpe ayant élu domicile sur une tombe
" Les clients ne sont pas très gentils, ils ne veulent pas acheter !"
Que c’est difficile de vendre…et les raisons pour expliquer les échecs sont si nombreuses : pas conscience du besoin et des gains en le satisfaisant, produit pas adapté à la demande, délai de livraison trop long, plus de budget ou budget insuffisant, meilleure offre de la concurrence, déjà équipé ou fournisseur référencé, incapacité du client à se décider…
Mais n’est-ce pas justement parce qu’un client seul achète rarement que l’entreprise confie à ses commerciaux la mission de les aider à envisager un avenir nouveau et/ou accepter des concessions pour les rendre acheteur ?
C’est l’objet de cette vidéo.
Je suis en retard, mais mon chat s'est cassé la patte
Un collaborateur ne respecte pas une règle du jeu ou un fondamental métier non négociable.
Vous décidez de lui en parler…et c’est une bonne idée.
Parfois, le collaborateur valide le hors-jeu mais le justifie : « Je suis d’accord MAIS j’ai eu raison d’être hors-jeu ».
Le risque pour le manager, c’est de se laisser embarquer par les justifications de son collaborateur et de s’enliser dans un entretien sans fin.
Greffe en cours (reprendre une équipe)
Un manager s’en va…
Un autre arrive …
Ancien collègue, collaborateur venant d’un autre établissement, service ou recrutement externe.
La prise de poste, cette période difficile ne s’improvise pas…
Sinon, gare aux dégâts irrécupérables !
On ne valorise pas pour être perçu comme un manager sympa. On valorise parce que c'est IN-DIS-PEN-SA-BLE !
- Payer nos collaborateurs c’est déjà bien, non ?
- Les payer c’est quand même un peu le minimum ! Dans le cas contraire ça s’appelle de l’esclavage, de l’exploitation, du foutage de g…..en long, en large et en travers !
- Le minimum ? Pourquoi pas les valoriser pendant qu’on y est !
- Les valoriser ? Pas crétin, cette idée !
Mon chauffeur a bousillé son outil de travail. Je le vire ou pas ?
Mon collaborateur fait involontairement tomber un objet qui se brise au sol. L’objet est explosé, totalement HS. Je suis magnanime et miséricordieux envers mon collaborateur : je pardonne !
En même temps l’objet cassé valait … 1€59.
Un chauffeur de taxi salarié d’une compagnie a un dixième de seconde d’inattention… Résultat, un accident.
Ouf ! Aucun dommage corporel mais la voiture est irrécupérable. L’assurance remboursera mais prévoit une franchise… La seconde d’inattention coûte donc à son employeur 2500 €.
Une erreur aux conséquences financières importantes devient-elle une faute qui mérite une sanction disciplinaire : avertissement, mise à pied ou licenciement ?
C’est l’objet de cette vidéo.
Il y a une crevaison, il va falloir réparer la fuite !
Un coup de mou qui dure, des soupirs, une absence de sourire, des « refus » d’obstacle, des petits retards inhabituels, des prises de tête avec les collègues, les clients, vous-même …
Votre collaborateur est sans doute démotivé.
C’est le sujet de ce Déjà vendredi ! en vidéo.
Je souffre donc je suis
L'important serait-il seulement de participer ?
Souffrir sans réussir, sans progresser ?
Troquer sueur, martyr, pénibilité, souffrance contre salaire ?
Ne serait-ce pas malsain et hors-sujet ?
Demain, mon collaborateur reprend le travail !
Congé payé, congé pour événements exceptionnels agréables – mariage, naissance … - ou tragiques -décès…-, mise à pied, congé parental d’éducation, arrêt maladie ou accident du travail ...un jour nos collaborateurs reprennent le travail !
Parfois avec envie.
Parfois moins.
Mais dans tous les cas, reprendre après s’être arrêté, c’est toujours un moment délicat.
Accompagner cette reprise est un acte managérial.
C’est le sujet de cette vidéo !
Je félicite mon collaborateur, ça ne lui fait ni chaud, ni froid !
Marc, manager dans l’industrie, nous propose son témoignage :
Guillaume a sensiblement progressé.
En janvier, février et mars, il atteignait péniblement 65% de l’objectif que je lui avais donné. En avril, 81%. Beau progrès...
Alors j’ai fait tout bien comme vous dîtes en formation.
Avant un entretien de débriefing du mois pour valider les progrès, les comprendre, évoquer ce qui a moins marché, présenter l’objectif de mai et caler quelques basiques de progrès, j’ai décidé d’aller très vite voir guillaume pour lui faire part de ma satisfaction.
" Salut Guillaume, 16 points de progrès en avril par rapport à mars, je suis ravi."
" Ben, je bosse, hein ! "
Je l’ai invité à s’exprimer -Raconte … Qu’est-ce qui a été difficile ?-, j’ai appliqué quelques basiques d’écoute active – relance silencieuse, relance écho- mais ça n’a rien donné.
Guillaume s’est contenté de réponse très courte : « Oui », « Je ne sais pas » « Non, pas trop » "Je peux y aller ?"
Pas aidant le garçon !
Il parait qu’un collaborateur récupère de l’énergie et de la motivation lorsqu’il est écouté sur un progrès, un succès…
Ecouter Guillaume, je ne demande que ça. Je lui offre la scène et je dirige la suiveuse sur lui. Je m’assois dans un fauteuil pour le regarder, l’écouter, l’admirer, l’applaudir.
Mais, il ne chante pas ! Pas un son ne sort de son gosier.
C’est grave ?
Un collaborateur semble insensible à la valorisation !
C’est le sujet de ce Déjà vendredi ! en vidéo.
L'exemplarité : Faites ce que je dis, ne faites pas ce que je fais !
Alors là, forcément, comme adage managérial, on doit pouvoir trouver mieux, non ? Voyons ce que proposait Mohandas Karamchand Gandhi :"Montrer l'exemple n'est pas le meilleur moyen de convaincre, c'est le seul.". C'est mieux. Beaucoup mieux ! L'inéxemplarité c'est la merule (un bête champignon qui dédruit une masion en quelques mois !) dans le crédit managérial. Alors que l'exemplarité, c'est le socle de ce crédit indispensable.
1'42" d'images mouvantes pour aller plus loin, c'est le sujet de ce Déjà vendredi ! en vidéo
Si je recadre mon collaborateur, comment va-t-il le prendre ?
Je vais devoir recadrer un collaborateur suite à un hors jeu...mais..j'hésite parce que... s'il le prend mal... s'il fait la gueule... s'il le vit mal... s'il arrête de travailler... s'il démissionne...s'il se met en arrêt maladie...si......."
Que de "si" !
"Avec des si, on mettrait Lutèce en amphore" répond un conducteur gaulois(1) se rendant en villégiature estivale à Nicae à son co-charretteur manifestant son désarroi face à un embouteillage monstre en osant un " Si j'avais su..."
Ou plus trivialement, Pierre Dac aimait dire : " Si ma tante en avait on l’appellerait mon oncle..."
Mais encore, un proverbe de nos amis canadiens : " Si les chiens avaient des scies, il n’y aurait plus de poteaux !"
Bref, un hors jeu est un hors jeu et il faut y faire face. Le manager doit rencontrer son collaborateur indépendamment d'un risque de réactions parfois exagérées, immatures...Céder aux hypothèses quant aux réactions du collaborateurs...si...si...si...serait faire le jeu d'un conséquentialisme douteux au dépend de l'éthique déontologique qui se doit d'être notre seule boussole.
Alors on recadre mais pas n'importe comment. Et surtout on se rassure, l'autorité juste et bien faite n'a jamais démotivée personne...
Bien au contraire !
C'est le sujet de ces 2'05" d'images animées en couleur.
(1) Le tour de Gaule d'Axtérix, page 28, quatrième vignette, en haut à droite.
Si je délègue une mission à un débutant, il va la planter !
Vos collaborateurs experts d’aujourd’hui étaient avant-hier des débutants.
Aujourd’hui, ils garantissent la performance de l’entreprise.
Les débutants d’aujourd’hui seront les experts d’après-demain et ils garantiront la performance d’après-demain.
A chacun son job : Les experts performent, les débutants apprennent.
La délégation progressive de missions à des débutants n’est pas une option.
C’est une obligation pour sécuriser l’avenir.
C’est une des missions essentielles des managers. Permettre l’autonomie, faire grandir.
Une très chouette mission !
Pour cela, peu à peu, il va falloir accepter de laisser les débutants seuls dans le bassin : c’est la première délégation de mission.
Dans le bassin, pas dans une mer démontée…ça viendra lorsqu’ils seront grands, mais pas tout de suite.
Les laisser seuls.
Pas les abandonner. Ça, ça ne viendra jamais ! Même avec un expert.
Seuls dans la piscine oui ! Mais avec une jolie bouée canard et un manager en claquettes super belles, attentif à ce qui se passe dans le bassin.
Nos débutants d’aujourd’hui seront les experts de demain si nous les accompagnons pédagogiquement lors des premières délégations de mission.
Si la première délégation est vécue dans la souffrance opérationnelle ou relationnelle – abandon, solitude, dénigrement, indifférence…-, elle ne se renouvellera pas.
Si la première délégation est synonyme de sécurisation, de plaisir, de trac – et non pas de stress-, de valorisation du prime-essai, alors il y a aura gain en estime, en motivation, en compétences et le collaborateur recommencera et doucettement mais sûrement progressera et performera.
Alors, prenons soin de nos délégations de missions.
Prenons soin de nos collaborateurs débutants.
L'exemplarité : Faites ce que je dis, ne faites pas ce que je fais !
Alors là, forcément, comme adage managérial, on doit pouvoir trouver mieux, non ? Voyons ce que proposait Mohandas Karamchand Gandhi :"Montrer l'exemple n'est pas le meilleur moyen de convaincre, c'est le seul.". C'est mieux. Beaucoup mieux ! L'inéxemplarité c'est la merule (un bête champignon qui dédruit une masion en quelques mois !) dans le crédit managérial. Alors que l'exemplarité, c'est le socle de ce crédit indispensable.
1'42" d'images mouvantes pour aller plus loin, c'est le sujet de ce Déjà vendredi ! en vidéo
Ain-si-phon-phon-phon trois p'tits reproches et puis s'en vont !
Dans la relation managériale, nous devons parfois évoquer des sujets qui siphonnent de l'énergie à nos collaborateurs : faire un reproche, annoncer une mauvaise nouvelle, dire "non"...
C'est le sujet de ce Déjà vendredi ! en vidéo
" Sus à l'agressivité, nom d'une pipe !"
Coprolithe!
Alburostre!
Pisse-froid!
Fesse-Mathieu!
Blanc-bec !
Qui un jour, excédé, irrité, dépassé, fatigué… n’a pas eu envie d’envoyer pareilles insultes à son manager, son collaborateur, un client !
Fort heureusement, vous avez su garder tête froide et raison conservée !
Mais comment reconnaître et gérer l’agressivité verbale dans l’entreprise ?
Déjà vendredi ! en vidéo : Nouveau format
Depuis deux ans, nous vous envoyons une fois par mois, une vidéo ayant pour thématique le management. A partir du 17 novembre, nous vous proposons un nouveau format : plus court, plus dynamique...
A vendredi prochain !
Entretien d'autorité : " Tu veux ou tu veux pas ?""
" 1 fois ça passe, 2 fois ça lasse, 3 fois ça pourrait casser..."
Auguste cumule les hors-jeux depuis quelques semaines.
Hors de question pour Maxime, son manager, de s'épuiser à ramener un collaboratuer dans le cadre, si celui-ci ne le désire pas.
Hors de question également de garder un collaborateur qui par ses comportements n'incarne pas le minimum attendu.
Maxime a décidé d'être clair. Très clair !
Rappel d' exigence : " Le doigt dans le pot de confiture "
Franchir la ligne, nous sommes tous tentés de le faire.
Et parfois...on ne résiste pas. Alors, on le fait.
Toujours avec de bonnes raisons.
Auguste a été pris le doigt dans le pot de confiture... Il a ouvert le magasin en retard.
Juste quelques minutes.
Rien de grave !
Non, rien de grave...
Mais Maxime, son manager veut lui en parler....pour ne pas laisser penser à Auguste que 9H00, ça peut-être 9H10, 9H50...10H53 !
Tranquillement.
Inutile de sortir l'artillerie lourde, lorsque un simple rappel d'exigence suffit.
Entretien d'évaluation : "On prend un peu de hauteur"
Le manager pense :
« Déjà les entretiens d’évaluation de mon collaborateur…Si je tenais le consultant qui a pondu ce truc ! »
Le collaborateur pense :
« Déjà mon entretien d’évaluation…Je donnerais beaucoup pour y échapper »
Ecrivez «
entretien d’évaluation » dans un moteur de recherche, les résultats sont édifiants : « on les déteste », « une source de stress bien inutile », « pour un management moderne : supprimer les entretiens d’évaluation ! », « C’est un entretien qui m’enfonce » …
Et si l’entretien d’évaluation était simplement mal considéré dans ses objectifs, parfois peu préparé par le manager, le collaborateur et mal mené…voire malmené ?
Dans ce Déjà vendredi ! en vidéo, nous vous proposons les premières minutes de l’entretien d’évaluation de Maxime.
Il y a toujours une première fois
Maxime s'ennuie parfois...il maîtrise parfaitement son poste. Il a besoin que son manager lui confie de nouvelles missions.
Dans ce Déjà vendredi ! en vidéo, nous vous proposons d'assister à une délégation de mission.
L' entretien d'intégration : "Je commence aujourd'hui "
Nous l'attendions depuis si longtemps ! Un professeur de tennis expert, ça ne se trouve pas facilement ! Maxime a accepté de travailler dans notre club ! Il s'agit de ne pas manquer son intégration.
Dans ce Déjà vendredi ! en vidéo, nous vous proposons d'assister à l'entretien d'accueil de Maxime
Accueillir après une absence :"Ça sent la fin des vacances !"
"Il rentra chez lui, là-haut vers le brouillard ,
Elle est descendue là-bas dans le midi ..." chantait Michel Fugain il y a bien bien bien longtemps !
On imagine que pour "Il" et "Elle" la reprise du travail a été difficile...
Amourettes, découvertes d'un pays, moments entre amis, apéros quotidiens...Difficile de tourner la page des vacances !
Quand bien même nous apprécions notre entreprise, nos collègues, nos clients et notre métier, qu'il aurait été bon de rajouter encore quelques heures, jours ou semaines de CP !
Et si l' accueil des collaborateurs par le manager lors des retours de vacances...et d'absences en général, agissait comme un booster qui permet de bien vivre la reprise du travail ?